La technique “1, 2, 3… GO !” : pour passer à l’action quand ton cerveau freine des quatre fers

Tu connais ce moment.

Celui où tu sais ce que tu dois faire…
Mais tu ne bouges pas.

Dire non.
Faire un choix.
Monter sur scène.
Envoyer ce message.
Ouvrir cette porte.

Ton corps est prêt.
Mais ton cerveau, lui, rame.

Il analyse. Il pèse. Il projette. Il flippe.
Et tu restes figé.


Pourquoi on bloque ?

Ce qu’on appelle souvent “procrastination” ou “manque de courage” est en réalité un mécanisme naturel :
Le cerveau cherche à éviter la douleur.
Il ne veut pas que tu sois rejeté, jugé, blessé, en échec.

Du coup, il t’envoie des pensées de frein :

“Attends un peu.”
“T’es pas prêt.”
“Et si tu faisais autre chose avant ?”
“Tu y réfléchiras demain.”

Ces pensées ne sont pas des ennemies.
Elles sont des reflets de ton système de survie.

Mais si tu veux avancer, il faut parfois baisser le son de ta tête… et écouter ton corps.


Ce que m’a appris le cirque

Quand tu fais du cirque, tu ne peux pas rester bloqué.
À un moment, il faut lancer le saut, entrer en piste, faire confiance au mouvement.

C’est là que la technique “1, 2, 3… GO !” devient un outil précieux.

Je l’ai utilisée des centaines de fois sans même savoir qu’elle avait un nom.
Puis je l’ai entendue chez David Laroche, et j’ai compris qu’elle parlait à plein de monde, pas juste aux artistes.

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🚀 Comment ça fonctionne

La méthode est aussi simple que puissante.

  • Tu identifies ce que tu veux (ou dois) faire.
    Exemple : dire non à une demande qui te met mal à l’aise.

  • Tu évites d’en discuter avec toi-même.
    Pas d’analyse. Pas de débat intérieur.

  • Tu lances un décompte à voix basse ou dans ta tête :
    “1… 2… 3… GO !”

  • Et tu fais l’action. Tout de suite.
    Tu dis non.
    Tu sautes.
    Tu envoies.
    Tu entres.

Ce décompte agit comme une rupture mentale.
Il court-circuite la boucle d’auto-sabotage et déclenche l’action avant que la peur ne reprenne le contrôle.


Pourquoi ça marche ?

  • Parce que ça remet le corps au centre du jeu.

  • Parce que ça t’oblige à ne pas réfléchir trop longtemps.

  • Parce que ça crée un rituel, un ancrage, une impulsion.

Et plus tu l’utilises, plus tu dépoussières ta capacité d’action.

✋ Dire non, c’est aussi un saut

Cette technique est particulièrement utile pour les gens qui ont du mal à poser leurs limites.
Tu sais que tu veux dire non…
Mais tu bloques.
Tu ressens la peur, la culpabilité, le doute…

Essaye ça :

Respire.
Connecte-toi à ta vérité.
“1… 2… 3… Go !”
Et dis non.

Dire non, c’est aussi une forme d’acrobatie intérieure.
Ça demande de se lancer.
Pas à l’aveugle, mais sans attendre que tout soit parfait.

C’est d’ailleurs un des leviers que j’explore dans ma mini-formation :
👉 Savoir dire non (sans devenir un connard ou une conasse)

✅ À toi de jouer

Tu veux tester ?
Voici 3 situations idéales pour appliquer la technique dès aujourd’hui :

  • Rappeler quelqu’un que tu évites.

  • Dire non à une invitation qui ne te fait pas envie.

  • Te lancer dans une action que tu repousses depuis des jours.

Fais-le. Une seule fois.
Et observe la différence.

Ton corps sait souvent ce qu’il faut faire.
Il attend juste ton signal.

“1… 2… 3… GO !"


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À PROPOS

"Parce qu’on lit trop de trucs qu’on oublie.

Moi, j’essaie de ne garder que ce qui reste. "