Manifeste

Je m’appelle Sébastien, mais ici on m’appelle Ziou.

Je fais de la scène depuis des années.

Du cirque, plus précisément.

J’y ai appris l’équilibre, l’écoute, le rythme, la chute… et tant d’autres choses.

J’ai un drôle de cerveau qui passe ses journées à croiser des idées, tester des outils, chercher des liens entre des trucs qui n’ont rien à voir.

J’ai voulu créer un business en ligne (qui n’a pas trop mal marché). Puis un autre (qui a bien fouaré). Et encore un autre. Puis un projet hyper complexe autour de l’intelligence relationnelle.

C’était brillant sur le papier. Et même plutôt prometteur.

Mais plus j’avançais, plus je sentais que quelque chose clochait.

Je m’étais piégé dans ma propre complexité.

Créer des systèmes, des concepts, des machins tordus… c’est un super pouvoir.

Mais c’est aussi mon talon d’Achille.

Parce qu’à force de vouloir tout relier, tout comprendre, tout rendre cohérent,

je finissais par m’éloigner de l’essentiel : le lien direct, le partage simple, la joie d’être utile ici et maintenant.

Alors j’ai pris le contre-pied, j’ai tout simplifié.

Aujourd’hui, je fais ce que je fais déjà naturellement, sans me forcer :

👉 J’apprends. Je digère. Je transmets.

Pas comme un prof.

Plutôt comme un pote qui revient d’une rando mentale avec quelques galets dans la poche. Et qui te dit :

“Tiens, regarde ce caillou-là. Il est pas mal, non ?”

Ce que tu trouveras ici :

• Des idées qui collent — pas forcément neuves, mais bien racontées.
• Des outils mentaux que j’ai testés.
• Des réflexions parfois sérieuses, parfois absurdes.
• Des bouts de moi, quand c’est juste.

Ce que tu ne trouveras pas ici :

• Des promesses de transformation en 7 jours.
• Du jargon bullshit.
• Un ton de coach-de-ta-vie-qui-veut-ton-mail-et-ton-argent.

À qui je parle ?

À celles et ceux qui :

• aiment apprendre mais sans se prendre au sérieux,
• aiment réfléchir sans se noyer,
• aiment comprendre sans forcément tout appliquer,
• aiment les idées utiles, incarnées, parfois drôles.

Bref, à des gens curieux comme toi.

Pourquoi “Les idées qui collent” ?

Parce qu’on lit trop de trucs qu’on oublie.

Moi, j’essaie de ne garder que ce qui reste.

Et de le transmettre comme on passe une balle.

Sans viser la tête. Plutôt le cœur. Ou la main.